Nous étions des dizaines de milliers à refuser l’article 24 de la loi destinée à museler toute contestation.
Le pouvoir cherche à s’attirer les bonnes grâces de la police pour la mettre à son service, en faire sa police alors qu’elle à mission d’être au service du public. Il prétend défendre la vie privée des fonctionnaires de police, ce qui est légitime et indispensable. Il a pour cela tout un arsenal législatif sanctionnant gravement ces infractions graves. Le véritable objet de sa loi sur la sécurité globale vise à étouffer dans l’œuf toute contestation. Le président profite de la crise sanitaire pour instaurer un état d’exception permanent liberticide. Entend-il juguler par avance les mouvements sociaux engendrés par la crise sanitaire? Prépare-t-il le terrain pour imposer la confiscation des retraites, grand œuvre de son quinquennat ?
Quoiqu’il en soit, une seule réponse à l’arbitraire : le lutte !